Questions Fréquentes - Page Urne

Depuis 2008, conserver les cendres dans une urne à domicile est interdit par la loi. De la même façon, il n’est pas possible de diviser les cendres du défunt entre plusieurs personnes. Par contre, s’il en avait émis le souhait, il est possible de disperser les cendres du défunt sur le site qu’il avait indiqué de son vivant, avant de récupérer l’urne vide.

Vous pouvez aussi inhumer l’urne au même titre qu’un cercueil. Vous pouvez également l’inhumer dans une sépulture cinéraire conçue à cet effet. Vous pouvez aussi rendre l’urne visible en la scellant sur un monument existant ou la placer dans la case qui lui est réservée s’il s’agit d’un monument mixte (dédié à la crémation et à l’inhumation). Vous pouvez enfin choisir de placer l’urne dans un columbarium, espace collectif réservé aux urnes dans les cimetières.

C’est le réceptacle, souvent sous forme de vase fermé, dans lequel on conserve les cendres du défunt après sa crémation. Ce vase est en général en pierre, en bronze, en marbre, en albâtre, en céramique, en verre ou même en matériaux biodégradables.

En principe, oui, sauf si la croyance de la personne l’interdit (c’est notamment le cas pour les religions juives et musulmanes). Depuis 1963, les catholiques l’autorisent sous réserve qu’une cérémonie soit donnée avant la crémation et que l’urne funéraire soit déposée dans un cimetière.
Les personnes qui suivent les rites du bouddhisme, de l’hindouisme et du shintoïsme sont très favorables à la crémation qu’ils associent à un rite de purification.

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